A L’ORÉE DU BOIS

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il y a 4 ans

Nous sommes en automne. Le taxi arriva à proximité de l’entrée du bois. Cette entrée était marquée par deux colonnes de pierres de grande hauteur. Sur une de ces colonnes, était fixée une plaque noire, sur laquelle étaient peints en caractères blancs « Propriété Privée – Défense d’entrée ». Le bois se trouvait en campagne éloignée de toute population dense, à la lisière d’une route escarpée d’une circulation intense que provoque une proximité urbaine.

Le taxi s’arrêta au niveau de l’entrée du bois. L’ouverture de la portière arrière droite fit apparaitre un homme d’une quarantaine d’année, de taille raisonnable sans être très grand avec une stature distingué mais décontracté à la fois. Décontracté, ce n’est cela que l’on traduire dans les pensées de cet homme. L’on pourrait même dire comme stressée tant l’on pouvait ressentir le creux de ces paumes de mains moites lorsqu’il procède au règlement du trajet auprès du chauffeur de taxi. Une fois la commission et réglée et la porte refermée, le taxi poursuivit sa route vers d’autres courses, il s’éloigna de l’homme pour ne plus entrevoir les phares au bout de quelques secondes. L’homme se trouva à l’orée du bois, entre les deux pilastres à étudier à l’environnement qui ouvre son entrée dans un monde qu’il avait tant imaginé mais dont l’issue est inconnue pour lui. Mischa est arrivé.

Il était 17h50, le bleu du ciel déjà caché par le ciel nuageux entrevoyait la sombre fin de journée. Mischa mit la main à sa poche arrière droite, où se trouvait une enveloppe cachetée, qu’il avait reçu anonymement dans sa boite aux lettre et sur laquelle était écrit « A ouvrir qu’à l’orée du bois ». Elle contenait les instructions à suivre à son arrivée et le comportement à tenir. L’enveloppe fut ouverte, Mischa se mit à la lire avec attention, sa glotte fit des yoyos à l’avancée des mots qui le mirent dans un état anxiogène mais affirmé dans la volonté de suivre les ordres transmis.

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Une pluie fine commence à tomber, signe d’une nuit humide et fraîche. Le jours persiste mais la pénombre ne tardera pas à montrer un cadre intriguant et austère par l’épure saisonnière de cette forêt. Je me mis en position de chien, à quatre pattes comme on me l’avait ordonné pour rentrer physiquement et psychologiquement dans ce trou noir, qui reflète à mes yeux le mystère et l’inconnu de ce que sera mon futur.

Ou bout d’un pénible douloureux parcours à l’extrémité de mes membres gît un arbre majestueux, porte ouverte vers mon parcours éducatif, comme la frontière du temps passé vers ma délivrance.

Sur son tronc, un encart gravé créant un support ou était attaché par un clou, un parchemin,une page blanche où j’ai la mission d’y laisser mon âme.

Je pris un fusain, chose que m’avait demandé de prendre Mademoiselle O’phelie puis je me mis à l’ouvrage ...... :

A l’orée du Bois, j’emprunte votre parcours initiatique

A l’orée du Bois, j’abandonne mon passé pathétique

J’avance en enfant sous le craquellement des feuilles où l’obscurité effacera mon chemin J’avance en soumis, tel un pèlerinage où l’horizon illuminera mon destin

Les écorchures aux genoux témoignent de mon engagement corporel,

Mon corps vous appartient, votre empreinte commence son œuvre

Le regard hagard, je progresse sur la terre de mon abandon

Les mains sales, je rampe sur les gouttes délaissées de mon front

J’arrive enfin à l’arbre, frontière du non retour

Sur son tronc, j’écris les préfaces de mon passé

Je vide mon âme passé, pour renaître dans votre feu divin

Oh Mademoiselle, je me prosterne à vos pieds

J’attends là votre main libératrice de mes chaînes

Corps et âme pour vous défaire de vos peines

Votre muse arrivée dans votre jardin secret

Dans l’évidence de votre plaisir et psyché bien-aimé

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